Le CCICP veut donner aux entreprises de conditionnement physique les moyens de se remettre sur pied et d’avoir un impact sur la santé des Canadiens en 2022

Publié le January 20, 2022 @ 10: 24 am / Mis à jour le January 20, 2022 @ 10: 24 am

Par : Conseil canadien de l’industrie du conditionnement physique

Le Conseil canadien de l’industrie du conditionnement physique travaille fort sur plusieurs initiatives en vue de renforcer notre industrie en 2022. Nous allons continuer à défendre et soutenir l’industrie du conditionnement physique. Depuis l’annonce de confinements dans plusieurs provinces, le CCICP lutte pour les entreprises de conditionnement physique en s’entretenant avec des dirigeants provinciaux pour encourager un plan de réouverture rapide tout en priorisant la sécurité des Canadiens. Nous continuons de nous entretenir avec des leaders du gouvernement et ferons part à nos membres de ces discussions en temps opportun.Cet engagement est l’une des plus grandes réussites du CCICP des deux dernières années. Nous représentons la voix de l’industrie du conditionnement physique et œuvrons à défendre les entreprises de conditionnement physique partout au Canada.L’une des plus grandes réussites du CCICP en 2021 était l’inclusion de l’industrie du conditionnement physique au projet de loi C-2, qui fournit un soutien financier aux entreprises. Lors de l’annonce par le gouvernement fédéral du projet de loi C-2 à l’automne, l’industrie du conditionnement physique était exclue de tous les programmes d’aide financière. Suite à cela, nous avons tout fait pour que le gouvernement entende haut et fort nos revendications. Le conditionnement physique fut ensuite ajouté au projet de loi qui a été adopté en décembre. Le projet de loi C-2 fournit des prestations de soutien ciblées, telles que des subventions pour les salaires et les loyers. Mais cela ne suffit pas. De nombreuses entreprises de conditionnement physique ne sont pas admissibles aux subventions et au financement, car le seuil minimal de baisse de revenus se situe à 35 % (ce qui peut causer la faillite de nombreuses petites entreprises). En outre, l’aide financière fournie est insuffisante si on la compare au total des pertes encourues par les entreprises de l’industrie du conditionnement physique. Nous allons continuer à faire pression auprès du gouvernement pour faire réduire le seuil du projet de loi C-2 à 10 % et demander des subventions supplémentaires. Au cours de l’année précédente, nous avons eu plusieurs rencontres et étions constamment en contact avec différents niveaux de gouvernement au niveau provincial et fédéral. Nous avons fait entendre la voix de l’industrie du conditionnement physique et eu des discussions importantes avec le Bureau de la santé ainsi que le Bureau des finances. Sara Hodson, présidente du CCICP, a rencontré en personne la ministre des Finances, Chrystia Freeland, et a pu proposer que les abonnements aux centres de conditionnement physique soient déductibles d’impôt. Nos études effectuées en juin 2021 ont révélé que de nombreux Canadiens s’abonneraient à une salle de sport si leur abonnement était en partie financé par le gouvernement.Nous devons maintenant agir pour faire de l’exercice une partie intégrante des dépenses de soins de santé. En 2022, nous allons continuer à échanger avec les représentants du gouvernement et les médias pour renforcer notre rôle d’association qui œuvre à sauver non seulement les entreprises de conditionnement physique, mais aussi la santé physique et mentale des Canadiens. L’exercice est un moyen de prévention et un traitement éprouvés pour les maladies chroniques, l’anxiété, le stress et la dépression. Nous devons jouer un rôle dans la relance économique et faire partie intégrante du système de santé.Les établissements de conditionnement physique ont fait tout ce qui leur a été demandé pendant la pandémie. Nous avons limité la capacité, amélioré les mesures sanitaires et les protocoles de santé, mis en application l’obligation de port du masque et mis en place les « passeports/dossiers vaccinaux ». À plusieurs reprises, le gouvernement nous a consultés avant la mise en place de règlements provinciaux; toutefois, le CCICP n’a pas été consulté quant à la possibilité de garder les établissements de conditionnement physique ouverts durant les derniers confinements dans plusieurs provinces du pays. Malheureusement, certaines provinces ont continué de forcer les entreprises de conditionnement physique à fermer alors que d’autres entreprises (comme les centres commerciaux, casinos, bars et restaurants) restent ouvertes. Nous avons été fermes dans notre volonté de collaborer avec le gouvernement, tant au niveau fédéral que provincial, pour garantir la durabilité de notre industrie. Nous allons continuer à défendre les entreprises de conditionnement physique afin que celles-ci puissent rester ouvertes. Le conditionnement physique fait partie intégrante de l’identité du Canada. Nombreux sont les Canadiens qui se rendent à la salle de sport pour maintenir une bonne forme physique et mentale, et pour gérer leur stress. La fermeture des salles de sport n’a pas pris en compte les besoins des Canadiens. Le 1er janvier 2022, le CCICP a lancé la campagne Save Fitness Canada qui vise à montrer au gouvernement l’importance de l’industrie du conditionnement physique pour les Canadiens, ainsi qu’une campagne très active sur les réseaux sociaux. Le CCICP a créé un plan stratégique pour l’année 2022. Nous espérons créer une association plus forte avec plus de membres et de partenaires en vue de promouvoir et de protéger l’industrie du conditionnement physique. 

Partager cet article :

Conseil canadien de l’industrie du conditionnement physique

Le conseil canadien de l’industrie du conditionnement physique (CCICP) est une association professionnelle sans but lucratif qui se veut la voix des exploitants de centres de conditionnement physique au Canada.

Voir l’article précédent ou le suivant :

Inscription au bulletin d’information

person_outline
person_outline